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mars 2013

Aspects quantitatifs

En 2 - 010, la valeur mondiale des exportations de produits alimentaires s’est élevée à 1.119 milliards de dollars US (OMC).
L’Europe est le premier importateur mondial de produits alimentaires, devant l’Asie/Océanie et l’Amérique du Nord. Le tout pour une valeur de 485 milliards de US$, soit 43% du marché mondial de l’importation des produits alimentaires. La part des exportations intra-régionales dans le commerce de produits alimentaires frôle 80 % pour l’Europe.
L’Union européenne est aussi le premier importateur de produits alimentaires d’origine agricole, devant l’ALENA et l’ANASE. Ses achats (1 - 01 milliards de dollars en 2 - 010) sont très supérieurs à ceux de l’ALENA (64 milliards), de la Chine hors Hong Kong (55 milliards) et du Japon (50 milliards).

Contrôle aux frontières

Il est assuré par le Service d’Inspection vétérinaire et phytosanitaire aux frontières (SIVEP), qui comprend
- des postes d’inspection aux frontières (PIF) chargés du contrôle d’importation des produits d’origine animale et des animaux vivants
- des points d’entrée désignés (PED) chargés du contrôle d’importation des aliments pour animaux d’origine non animale
- des points d’entrée communautaires (PEC) désignés pour le contrôle phytosanitaire d’importation des végétaux et des produits végétaux.
Les conditions sanitaires requises sont détaillées à l’adresse suivante: http://agriculture.gouv.fr/importation

Limites du contrôle

Une fois effectués les contrôles dans un Etat membre de l’UE, ceux-ci sont valables pour l’ensemble de l’Union. Nul doute que les exportateurs utilisent volontiers les points d’entrée les plus «perméables».
La DGAL procède systématiquement à des vérifications documentaires, mais seulement de manière aléatoire à des analyses en laboratoires.
Par la suite, la DGCCRF peut procéder à des contrôles, mais de manière non systématique: ciblage sur les produits sensibles ou à la suite de plaintes.
« Dans son ensemble, la procédure n’est pas satisfaisante »
(UFC-QueChoisir).

Lire les code-barres

Dans ce dédale, le consommateur, où qu’il se trouve dans le monde, peut déterminer le pays dans lequel la société qui lui propose un produit -un aliment en l’occurrence- dont ladite société assume la responsabilité. Il restera au consommateur à choisir s’il préfère Chine ou Suisse, Bengladesh ou Suède… Le tout en lisant les trois premiers chiffres du code-barres.

 

Aspects quantitatifs

En 2 010, la valeur mondiale des exportations de produits alimentaires s’est élevée à 1.119 milliards de dollars US (OMC).
L’Europe est le premier importateur mondial de produits alimentaires, devant l’Asie/Océanie et l’Amérique du Nord. Le tout pour une valeur de 485 milliards de US$, soit 43% du marché mondial de l’importation des produits alimentaires. La part des exportations intra-régionales dans le commerce de produits alimentaires frôle 80 % pour l’Europe.
L’Union européenne est aussi le premier importateur de produits alimentaires d’origine agricole, devant l’ALENA et l’ANASE. Ses achats (1 01 milliards de dollars en 2 010) sont très supérieurs à ceux de l’ALENA (64 milliards), de la Chine hors Hong Kong (55 milliards) et du Japon (50 milliards).

Contrôle aux frontières

Il est assuré par le Service d’Inspection vétérinaire et phytosanitaire aux frontières (SIVEP), qui comprend
- des postes d’inspection aux frontières (PIF) chargés du contrôle d’importation des produits d’origine animale et des animaux vivants
- des points d’entrée désignés (PED) chargés du contrôle d’importation des aliments pour animaux d’origine non animale
- des points d’entrée communautaires (PEC) désignés pour le contrôle phytosanitaire d’importation des végétaux et des produits végétaux.
Les conditions sanitaires requises sont détaillées à l’adresse suivante: http://agriculture.gouv.fr/importation

Limites du contrôle

Une fois effectués les contrôles dans un Etat membre de l’UE, ceux-ci sont valables pour l’ensemble de l’Union. Nul doute que les exportateurs utilisent volontiers les points d’entrée les plus «perméables».
La DGAL procède systématiquement à des vérifications documentaires, mais seulement de manière aléatoire à des analyses en laboratoires.
Par la suite, la DGCCRF peut procéder à des contrôles, mais de manière non systématique: ciblage sur les produits sensibles ou à la suite de plaintes.
« Dans son ensemble, la procédure n’est pas satisfaisante »
(UFC-QueChoisir).

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Dans ce dédale, le consommateur, où qu’il se trouve dans le monde, peut déterminer le pays dans lequel la société qui lui propose un produit -un aliment en l’occurrence- dont ladite société assume la responsabilité. Il restera au consommateur à choisir s’il préfère Chine ou Suisse, Bengladesh ou Suède… Le tout en lisant les trois premiers chiffres du code-barres.

 


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